La somme pourrait couvrir 80% des besoins annuels d'investissement en infrastructures de l'Afrique, estimés à 93 milliards de dollars.
C'est le manque de données qui fait que les agences "doivent porter des jugements subjectifs", révèle l'économiste en chef du PNUD.
"Les données montrent que 750 millions d'Africains vivent dans des pays qui paient plus pour le service de la dette que ce qu'ils investissent dans la santé et l'éducation", ajoute Raymond Gilpin.
Les surcoûts des emprunts sont certainement plus hauts car le calcul a été réalisé sur 19 pays seulement du continent.