L'idée est née lors des voyages de l'ingénieur du son Ilia Izotov en Ouganda. Il y collectionne de la musique folklorique. Au cours d'une expédition, une pensée spontanée lui est venue: et si un musicien local jouait une mélodie folklorique russe sur l'adungu, un instrument semblable à une harpe?
Au moment où il a entendu le mélange de sons, il a compris qu'il s'agissait de quelque chose de spécial.
L'album comporte neuf morceaux qui mélangent l'adungu, la guitare, la basse, les tambours folkloriques ougandais et l'enanga rwandais.