À plus long terme, les précipitations exceptionnelles seraient à même de modifier les sols et les paysages du désert.
Bien que des épisodes pluvieux se produisent tous les 10 ans en moyenne, l'ampleur de celui de septembre pourrait en faire un événement inédit depuis 1994.
Les chercheurs mettent en cause un déplacement anormal de la zone de convergence intertropicale, qui a favorisé l'arrivée d'air humide des océans au-dessus du Sahara.
Selon les prévisions, il pourrait y pleuvoir jusqu'à 10 fois plus que d'habitude.