Faute de parler russe, les mercenaires ne communiquent pas avec les habitants "à part quand ils volent, violent ou kidnappent quelqu'un", a tranché Vitali Gantchev.
Le haut responsable a également révélé la présence de mercenaires polonais, roumains, allemands, ainsi que de noirs dans la région sans pour autant donner leur nombre exact.
"Ils sont toujours là et continuent leurs actions criminelles", conclut-il.