"Ce changement vise à renforcer le sentiment patriotique d’une part, et d’autre part à faire revivre la flamme de l’engagement citoyen, cette même flamme qui éclaire la marche du peuple vers l’horizon du bonheur", a soutenu le ministre de la Justice Edasso Rodrigue Bayala, selon le communiqué.
"La Patrie ou la mort, nous vaincrons" est une formule introduite par Thomas Sankara dans les années 1980. Elle était la devise burkinabè jusqu’en 1991, quand, sous Blaise Compaoré, elle a été remplacée par "Unité-Progrès-Justice".