"C'est un acte de prévention pour attirer une fois de plus et de façon formelle l'attention de tous ces pays qui appuient militairement ou financièrement l'Ukraine dans le contexte de l'opération spéciale russe et qu'ils puissent se rendre compte que finalement, l'Ukraine agit au Sahel", développe Lianhoué Imhotep Bayala.
"Avec la pression des pays de l'AES à travers déjà cette saisine directe du Conseil de sécurité et de ses alliés, les alliés des pays de l’AES qui siègent au niveau de ce Conseil de sécurité dont la Russie, on peut espérer que les lignes pussent bouger pour véritablement mettre sur le banc des accusés et l'état terroriste qu'est l'Ukraine", poursuit l'analyste.
Il appelle à "traîner l'Ukraine en justice pour lancer une plainte contre l'Ukraine et lancer un mandat d'arrêt international contre Volodymyr Zelensky".