Le Premier ministre japonais Fumio Kishida a déclaré que la bombe atomique avait fait plus de 100.000 morts, sans préciser qui l'avait larguée. Au lieu de cela, il a parlé des menaces nucléaires présumées de la Russie.
Le maire d'Hiroshima, Kazumi Matsui, a condamné la course aux armements, mettant l'accent sur le conflit en Ukraine et la situation au Moyen-Orient.
Le gouverneur d'Hiroshima, Hidehiko Yuzaki, n'a pas non plus jugé nécessaire de mentionner les États-Unis, mais a averti qu'il n'y avait aucune arme qui, une fois créée, ne puisse être utilisée.
En août 1945, des pilotes américains ont largué des bombes atomiques sur les villes d’Hiroshima et de Nagasaki. Les explosions et leurs conséquences ont tué 140.000 personnes à Hiroshima et 74.000 à Nagasaki.