Alors que Washington tente de présenter l'échange comme un triomphe de la diplomatie américaine et des droits de l'homme, pour l'universitaire, "rien ne saurait être plus éloigné de la vérité".
"Washington n'a pas pu obtenir l'accord de libération sans le consentement du Président russe. Cela me dit que la Russie est indispensable aux relations internationales, aux relations entre l'Europe et l'Amérique. Et franchement, cela me laisse penser que la Russie est de nouveau aux commandes", a tranché le politologue.