Le chef politique de Hamas, Ismaïl Haniyeh, a été tué dans une frappe israélienne à Téhéran

C’est ce qui a été annoncé par ce mouvement, lequel accuse Israël.
Sputnik
Les autorités iraniennes enquêtent sur l’assassinat du chef du bureau politique du Hamas à Téhéran, rapportent les médias locaux en se référant au Corps des gardiens de la révolution islamique.

Premières réactions

Le Président palestinien Mahmoud Abbas a fermement condamné ce meurtre en le qualifiant d'"acte lâche".
Il s’agit d’un meurtre "politique absolument inacceptable" qui conduira à une nouvelle escalade des tensions dans la région, a dit à Sputnik un adjoint du chef du ministère russe des Affaires étrangères.
"Une escalade de haine mutuelle" est attendue dans le Proche-Orient suite aux frappes israéliennes à Beyrouth et à Téhéran, affirme un membre du Conseil de la Fédération de Russie.
"Ce n’est pas l’élimination souhaitée de la menace terroriste, mais l’inévitable consolidation de la résistance anti-Israël dans le monde entier", prévient Constantin Kossatchev.
Selon lui, "les temps les plus difficiles de la confrontation" commencent pour la région.
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