Ils ont commis cet assassinat pour faire pression sur le mouvement palestinien et ainsi le forcer à se plier à leurs conditions lors des négociations, explique Mahmoud Taha.
Pour lui, la disparition de Haniyeh ne fera que renforcer la détermination du mouvement à résister à l'agression. "L'assassinat de nos dirigeants ne nous a jamais arrêtés par le passé", ajoute-t-il.
Toutes les options et tous les scénarios sont possibles en réponse à cet assassinat, poursuit M.Taha. Compte tenu la situation actuelle, avec la frappe sur Beyrouth, il n'exclut pas une guerre régionale majeure. Son déclenchement serait également imputable à Washington, conclut-il.