Moscou peut aider en fournissant du matériel et en s'engageant dans "la recherche et le développement conjoints", a déclaré à Sputnik Afrique Lilian Mpondachuma, co-fondatrice de l'Alliance tanzanienne contre l'hépatite, à l'occasion de la Journée mondiale contre cette maladie.
"La Russie est l'un des pays les plus riches en perspectives de lutte contre l'hépatite. Elle pourrait partager avec nous ses méthodes, ce qui fonctionne pour elle. Peut-être pourrions-nous plaider conjointement pour accroître l'attention mondiale et le financement des efforts contre l'hépatite", a-t-elle expliqué.
Selon elle, la Russie peut aussi:
aider à développer des protocoles de prévention sur mesure;
coopérer à des essais cliniques, qui faciliteraient la création de vaccins.
Au côté de la Tanzanie, Moscou pourrait encore renforcer les structures de soins, dans les domaines:
de formation et d'encadrement des agents de santé;
de management;
de capacités des laboratoires.