L'homme a avoué que son unité discutait d'un projet d'attaque contre le Burkina Faso et que la France y était également impliquée.
Plus tôt, le Président du Faso a affirmé que les autorités ivoiriennes abritaient un "centre d'opérations pour déstabiliser" son pays.
Le porte-parole du parti ivoirien au pouvoir a pour sa part répondu que la Côte d'Ivoire n'avait "aucun problème" avec ses voisins.
Depuis quelques mois, la relation entre Abidjan et Ouagadougou est émaillée d'épisodes d'arrestations de militaires des deux pays au niveau de leur frontière commune.