Il a notamment pointé du doigt son inaction face aux défis sécuritaires auxquels sont confrontés des pays comme le Burkina Faso, le Niger et le Mali.
Pour le député de la 6e législature de la CEDEAO, celle-ci est une organisation "des chefs d'État et non des peuples". Selon lui, il est nécessaire de réaliser des réformes avec une implication plus forte des citoyens dans la prise de décision.