Le critère d'intégrité écologique concerne les zones qui restent exemptes de perturbations majeures, préservant ainsi la structure, la composition et les fonctions de leurs écosystèmes.
Le parc national congolais, d’une superficie de plus de 4.000 kilomètres carrés de forêt tropicale humide, n'a jamais été exploité. Il abrite une importante population de mammifères en danger d’extinction.
Sa faune n’a eu aucun, ou presque, contact avec les humains et joue un rôle notable dans la régulation du climat et le stockage de carbone.