Plus tôt, la CNAVC avait donné un délai d'un mois à l'ambassade de France pour déménager dans un autre local dans la capitale. Pour elle, la proximité de l’ambassade avec la présidence représente une menace pour la sécurité des autorités.
Alors que le délai arrive bientôt à terme, les autorités françaises ne semblent pas honorer cette demande, constate un membre de la CNAVC, cité par le Burkina 24.
Nous voulons que l’ambassade de France parte "avec un minimum de dignité", explique un autre partisan de ce départ. "S’ils ne partent pas avec dignité, ils vont partir avec la tête basse et la queue entre les pattes et nous allons signer une rupture totale", a-t-il poursuivi.
La manifestation a fini par être dispersée, rapporte le Burkina 24.