"Depuis notre arrivée, quand nous sommes arrivés dans le village, on nous a accueillis avec des chants et des danses, puis nous nous sommes dirigés dans la zone où nous allions vivre. Là aussi, il y avait des ateliers pratiques, des divertissements, c'était un programme très riche", explique-t-elle.
La sportive raconte avoir échangé, en guise de souvenir, son uniforme russe "contre des tenues d'Afrique du Sud, du Brésil et d'autres pays".
Commentant l'exclusion d'athlètes russes des JO de Paris, elle qualifie ce geste d'"injuste".
"Je ne sais même pas quels autres commentaires faire. C'est juste que je ne comprends pas tout ça personnellement", confie Emilia.