En avril dernier, l'État congolais avait adressé à la compagnie une mise en demeure l'avertissant d'actions judiciaires si la pratique se poursuivait. Kinshasa avait de plus indiqué que de "nombreux droits humains sont violés" dans la zone d'extraction de ces ressources.
La compagnie a répondu par un message "laconique" qui pourrait être considéré comme une "forme de mépris, de cynisme, d’arrogance", a déclaré un des avocats de la RDC à l'époque.
D'après lui, des poursuites sont actuellement envisagées en France et aux États-Unis.