Et d’ajouter que "c'est la France qui guide la politique étrangère, la politique nationale".
Cependant, il y a une "prise de conscience au niveau de la jeunesse" qui s'oppose à cette absence d'autonomie, poursuit le ministre d’État.
"Dans ce cadre, l'éducation est extrêmement importante parce qu'un peuple qui n'est pas éduqué ne peut pas défendre ses intérêts", souligne-t-il. Et de trancher: "Tant qu'il n'y a pas l'éducation, on va seulement regarder du côté de l'ancien colonisateur".