Parmi ces actes:
utilisation de la famine comme méthode de guerre,
meurtres ou assassinats intentionnels,
ciblages délibérés de civils et de biens civils,
déplacements forcés,
violences sexuelles,
torture et traitement inhumain ou cruel,
détentions arbitraires,
atteintes à la dignité de la personne.
Les auteurs du rapport estiment que le nombre "énorme" de victimes civiles à Gaza et la destruction généralisée de bâtiments et d'infrastructures civiles sont le résultat d'une stratégie visant à causer le maximum de dégâts.
Le texte souligne qu'Israël a fait obstruction aux enquêtes de la commission et l'a empêchée d'accéder au territoire palestinien occupé.
Les actions du Hamas le 7 octobre, ainsi que la poursuite des tirs de roquettes sur Israël, ont également été qualifiées de crimes de guerre.
Le document sera présenté le 19 juin lors de la 56e session du Conseil des droits de l'homme des Nations unies à Genève.