"Il est désormais clair qu’un régime ouvertement nazi est au pouvoir à Kiev, commettant d’innombrables violations flagrantes et systématiques des droits de l’homme dans toutes les sphères de la vie publique", selon le rapport, publié le 29 mai.
Cependant, la plupart des ONG occidentales et des mécanismes internationaux des droits humains ne remarquent pas cela.
"Les approches nazies de Kiev sont pleinement mises en œuvre à l’égard de la population russophone d’Ukraine. À ce jour, tout ce qui est russe est interdit dans ce pays: langue, culture, éducation, livres, médias", souligne la diplomatie russe.
Voici les activités de l’État ukrainien qui bafouent les droits de l’homme:
️Organisation d'événements en l'honneur des nazis et de leurs collaborateurs, blanchiment du néonazisme ukrainien;
Prolifération des discours de haine, injection de l’idéologie néonazie dans l’enseignement scolaire;
Profanation et démolition de monuments dédiés aux soldats de l'Armée rouge;
Persécution de l'Église orthodoxe ukrainienne;
Interdiction de la langue russe;
Discrimination à l'égard des minorités nationales et manifestations de racisme;
Restrictions des activités des médias;
Suppression de l’opposition et restrictions des droits politiques.
Dans le domaine de l’éducation, le processus de dérussification a atteint son paroxysme, note le ministère russe. L'enseignement et l'étude des matières en russe à l'école sont interdits, les livres en russe sont retirés des bibliothèques, il est interdit aux écoliers et aux enseignants de parler russe non seulement pendant les cours, mais aussi lors des récréations.