Les pays africains amélioreraient leur situation si elles disposaient de ses propres informations satellitaires, a déclaré à Sputnik Vsevolod Sviridov du Centre d'études africaines de l'École supérieure d'économie de Moscou.
"Jusqu'à présent, les pays africains n'ont aucun contrôle sur les informations les concernant car une grande partie des informations reçues proviennent de sources occidentales, de satellites occidentaux, et les données sont stockées dans des centres de données occidentaux", a-t-il expliqué.
Les mines d'uranium du Niger suscitent une frénésie d'espionnage par satellites, de la part de la France et des États-Unis, rapportait récemment le média français Intelligence Online.