La partie algérienne a présenté une liste d'objets "historiques et symboliques" qui sont conservés dans diverses institutions françaises. L'Algérie souhaite les voir revenir sur leur terre d'origine "sous forme de gestes symboliques", précise l'agence de presse en se référant au communiqué.
Les historiens français se sont engagés à transmettre ce répertoire à Emmanuel Macron.
Plus tôt, le Président algérien avait souligné que le dossier mémoriel était "imprescriptible".
"Le dossier de la mémoire ne saurait faire l'objet de concessions ni de compromis, et restera au cœur de nos préoccupations jusqu'à son traitement objectif, audacieux et équitable envers la vérité historique", a déclaré Abdelmadjid Tebboune.