Selon Ibrahim Traoré, cette ONG est "responsable de rapports mensongers".
"Qu’ils aillent défendre les droits de l’homme partout dans le monde d’abord avant de venir ici", a-t-il conclu.
Fin avril, les autorités burkinabè ont qualifié d’"accusations infondées" un rapport de HRW, qui allègue que l’armée burkinabè a délibérément massacré 223 civils dont plus d’une cinquantaine d’enfants dans les villages de Nodin et Soro le 24 février 2024.