"Ceux qui aujourd'hui condamnent des régimes considérés comme des régimes militaires ou dictatoriaux sont pourtant enclins à aller vers d'autres régimes qui ne sont pas démocratiques lorsqu'il s'agit de négocier du pétrole ou des marchés", a dit Ousmane Sonko.
Selon lui, il ne suffit pas de condamner les coups d’État en diabolisant les meneurs, il faut une analyse profonde du phénomène afin de l’appréhender à la racine.
"Nous ne lâcherons pas nos frères du Sahel et nous ferons tout pour raffermir les liens et leur apporter notre solidarité", a-t-il indiqué.