C'est la nette diminution des zones propices à la transmission de la maladie qui ralentira sa diffusion à partir de 2025, expliquent les scientifiques.
Pourtant, ce même phénomène réduira l'accessibilité à l’eau et facilitera la propagation d'une autre maladie majeure, la dengue.
À part ça, "les tendances de réchauffement et d’assèchement présentent de profonds défis environnementaux et sociaux", continue l’article.
Les chercheurs espèrent que de nouveaux progrès dans leur modélisation permettront d’apporter des informations précieuses aux programmes nationaux de lutte contre le paludisme.