Après une évaluation récente de l'OMS, le pays a jusqu'au 20 mai pour effectuer certaines mises en conformité. À leur issue, le passage au niveau 3 sera acté.
Ce résultat permettra de booster l'économie dans la production, l'importation et la résilience des produits, a noté Oumou Kalsoum Ndao, directrice générale de l’Agence de réglementation pharmaceutique (APR).
"Notre pays a l'ambition de réduire de façon considérable sa dépendance vis-à-vis des importations des produits", a pour sa part mis en avant le secrétaire général du ministère de la Santé.
Il y a deux ans, le pays a décidé de relancer son industrie pharmaceutique et créé l'ARP. À l'époque, l'OMS avait formulé 187 recommandations que l'instance a exécutées.