Une analyse de patients hospitalisés entre octobre et janvier à Kamituga, dans l'est de la RDC, suggère que les mutations génétiques récentes du Mpox sont le résultat de sa transmission continue chez l'homme, selon Placide Mbala-Kingebeni, responsable d’un laboratoire à l’Institut national de recherche biomédicale du Congo.
Cela se produit dans une ville où les gens ont peu de contacts avec les animaux sauvages censés être naturellement porteurs de la maladie, selon lui.
La souche du virus découverte à Kamituga semble mieux se propager entre les humains, principalement par rapport sexuel, écrit le Telegraph.
Les premiers symptômes de cette maladie infectieuse virale sont la fièvre, des douleurs musculaires, de la fatigue. Puis une éruption cutanée apparaît. La prise en charge est symptomatique. On peut associer des antibiotiques qui ont fait leurs preuves pour prévenir les surinfections bactériennes.