Environ 2.000 personnes ont participé à la manifestation ce 21 avril.
Certains ont scandé: "Une seule solution est la fin de l'occupation", "Refus d'obtempérer n'est pas un permis de tuer", "La police tue, la justice acquitte".
"Il faut lutter contre l'autoritarisme, des manifestations interdites, des rassemblements, des meetings interdits, des militants emmenés par la police parce qu'ils ont dit telle ou telle phrase. Tout cela est insupportable. Il y a aussi des violences policières qu'il faut dénoncer", avance auprès de Sputnik Afrique Patrice Leclerc, maire communiste de Gennevilliers.
L’événement a été d’abord interdit par le préfet de police de Paris, ce dernier invoquant "de forts risques de troubles à l’ordre public". Mais les organisateurs ont saisi la justice, et l’interdiction préfectorale a été suspendue.
La marche a été organisée à l’appel de 51 organisations parmi lesquelles La France insoumise (LFI), le Nouveau Parti anticapitaliste (NPA), l’Observatoire national des pratiques et des violences policières.