"La phase de stabilisation doit atteindre un point de non-retour en arrière, un point suffisamment stable pour pouvoir organiser des élections", a dit le 11 avril Choguel Kokalla Maïga s’adressant à ses ministres.
"Il ne suffit pas de conquérir par la force du territoire, il faut la gestion", a-t-il continué. Selon lui, les autorités contrôlent actuellement tout le territoire malien. Quant au dialogue inter-malien, il doit s’ouvrir au niveau national début mai.
La présidentielle, qui doit marquer la sortie de la transition au Mali, a été prévue pour le février 2024. Fin septembre 2023, le porte-parole du gouvernement a annoncé "un léger report pour des raisons techniques". La nouvelle date n’a pas été communiquée.