"On sent quand même un changement, un besoin de plus de souveraineté de la part du peuple sénégalais", avance-t-il.
Selon lui, les nouveaux leaders ne vont pas être "radicaux" dans leur relation avec Paris et n'iront pas jusqu'à rompre le lien. Par contre, il pourrait s'agir de la révision de contrats là où il y a des "zones d'ombre" qui augmentent la dépendance du pays africain de la France.
"Ce sera plutôt cela, le plus de souveraineté, parce qu'ils ne seront pas aussi radicaux que le Mali ou le Niger, chasser les forces françaises", conclut M.Dossou.