Ils n'ont jamais été exposés au public et sont considérés comme tellement sacrés que même les conservateurs de l'institution n'ont pas le droit de les examiner, rapporte le Guardian.
Le musée fait face à des appels à les restituer.
Il est actuellement visé par une plainte déposée par Returning Heritage. Ses militants l’accusent ne pas avoir divulgué pleinement les informations relatives aux tablettes d'autel sacrées, des objets sensibles de la collection, en réponse à une demande d'accès à l'information.
Une enquête a été lancée par le Bureau du commissaire à l'information.