Le gouvernement de transition du Burkina Faso avait décrété "la mobilisation générale et la mise en garde" en avril 2023 pour une période de douze mois.
L'adoption de ce décret permet de continuer la mobilisation des ressources, de restaurer la sécurité et d'assurer la protection des populations et de leurs biens contre la menace et les actions terroristes, a expliqué le gouvernement dans le rapport du conseil des ministres.