Avant le coup d'État au Niger en 2023, plus de 800 élèves étaient inscrits à l'école française. Depuis la rentrée de septembre, il reste environ un quart des effectifs, qui suivent un enseignement à distance, selon les médias.
Pour autant, les établissements français de Bamako et Ouagadougou poursuivent leurs activités.
La France avait eu beaucoup de mal à digérer les changements politiques survenus au Niger en juillet 2023, avec la mise sur la touche de l'ancien Président Mohamed Bazoum. Paris avait décidé d'aller au bras de fer avec les nouvelles autorités, refusant en particulier le départ de son ambassadeur.
Après des semaines de tensions, Paris avait finalement accepté de rappeler son diplomate, puis de se désengager militairement du pays. La France avait également annoncé couper ses aides au développement.
Après des semaines de tensions, Paris avait finalement accepté de rappeler son diplomate, puis de se désengager militairement du pays. La France avait également annoncé couper ses aides au développement.