Félix Moloua a ajouté que le pays avait adopté une loi qui réglemente leur travail. Selon lui, les autorités centrafricaines ont été contraintes de réviser la réglementation afin de mieux contrôler les activités des ONG.
"Nous ne pouvons pas travailler avec des partenaires si on n'a pas l'aspect de leur mobilité, il faut qu'on sache ce que les autres partenaires apportent parce qu'il faut rendre des comptes. […] Nous allons travailler avec celles qui font du bon boulot, on va continuer à travailler avec elles mais celles qui ont des agendas cachés n'aurons pas la place en RCA", a-t-il souligné.