La première entreprise à entrer en bourse sera Ethiotelecom avec une part de 10 %. Une évaluation est en cours pour cinq autres entreprises publiques.
L'instance dont M.Taye dirige, construit un "environnement nécessaire pour faciliter l’accès des entreprises aux marchés des capitaux", a-t-il souligné.
Même si le pays a pris du retard en la matière, cela pourrait être bénéfique, car il pourra s'appuyer sur l'expérience d'autres juridictions, estime le responsable.
La bourse, l’Ethiopia Securities Exchange, existe déjà en tant qu'entité juridique. Son cadre réglementaire a été conçu et des experts ont déjà été embauchés, a-t-il noté.