Les pays membres ont exprimé leur rejet de toute ingérence artificielle sur les marchés, y compris le "plafonnement des prix", et soutenu le calcul du prix du gaz naturel sur celui du pétrole.
Les participants ont également réaffirmé l'importance des contrats à moyen et long terme pour les livraisons du gaz naturel. La nécessité de protéger les infrastructures gazières essentielles, y compris transfrontalières, a été soulignée.
Le GECF a exprimé son soutien aux les pays africains dans leur lutte contre la pauvreté énergétique. Dans le même temps, ses membres se disent déterminés à promouvoir le gaz naturel en tant que source d'énergie abondante, abordable, flexible et fiable;
Le groupe rejette en outre toute utilisation du changement climatique pour justifier les mesures décourageant les investissements dans des projets gaziers.
Lors de l'évènement, deux nouveaux pays africains, dont la Mauritanie et le Sénégal, sont devenus membres à part entière du GECF.