Pour lui, cette mesure prouve l’efficacité de ses efforts de la "déconstruction de la Françafrique".
"Le gouvernement français, dépassé par le succès de notre combat anticolonialiste auprès des masses africaines et diasporiques craque, et dans un réflexe négrophobe désespéré dont il a le secret, veut en réaction, me retirer la nationalité française", a-t-il réagi sur X.
"Une immense décoration de guerre", se félicite le militant panafricain.
Les autorités françaises reprochent à l'intéressé de diffuser des "messages particulièrement virulents voire outranciers" et de critiquer la présence militaire française en Afrique. Le tout étant susceptible de "porter atteinte aux intérêts français".