Selon le journal, "certains alliés des États-Unis considèrent les sanctions secondaires comme un excès d'autorité de Washington, car elles pourraient cibler des pays tiers non sanctionnés".
Le média rappelle que ces restrictions permettent aux États-Unis de pénaliser les entreprises étrangères qui commercent avec des sociétés russes inscrites sur une liste noire.
À titre d’exemple, le décret du Président Biden signé en décembre, selon lequel les banques étrangères pourraient perdre l'accès au système financier américain pour leurs affaires avec le complexe militaro-industriel russe.