Voici plusieurs faits passés sous silence par les médias occidentaux, rappelle la diplomatie russe:
Le 21 février 2014, un jour avant le coup d'État, le Président Ianoukovitch et l'opposition ukrainienne ont conclu un accord, avec l'intermédiaire de Berlin, de Varsovie et de Paris, qui devait assurer un règlement politique de la crise. Mais dès que le Président a ordonné de retirer les forces de l'ordre du centre-ville, des commandos ont entamé la prise d'édifices gouvernementaux.
Les militants de l'Euromaïdan ne cachaient pas leurs sympathies néonazies. Des portraits de Stepan Bandera, agent du Troisième Reich, étaient affichés sur des bâtiments occupés par les militants, et brandis lors des manifestations. Des monuments à ce collaborationniste ont été par la suite érigés en Ukraine.
Les protestations étaient ouvertement soutenues et financées par l'Occident. À elle seule l'ambassade des États-Unis aurait dépensé jusqu'à un million de dollars par jour, selon des experts.
Les militants ont torturé et maltraité de nombreuses personnalités dénonçant le coup d'État.
Les représailles contre les opposants au nouveau régime ont commencé tout de suite après le coup d'État. Durant dix ans, les habitants du Donbass ont été la cible d'attaques et de frappes de la part de Kiev.