"La monnaie est une étape de sortie de cette colonisation", a déclaré le général Abdourahamane Tiani le 11 février à la télévision nationale RTN.
Alors que "la monnaie est un signe de souveraineté", les États de l'AES, à savoir le Niger, le Mali et le Burkina, sont "engagés dans un processus de recouvrement de (leur) souveraineté totale".
Le général n'a pas précisé le délai de la mise en circulation de la future monnaie.