"En effet, il y a eu une sorte d’agitation médiatique incompréhensible", développe Alexeï Moïseev, adjoint du ministre russe des Finances.
Il admet que Moscou a "une certaine question problématique" avec les autorités du pays africain, mais des négociations "se déroulent activement" concernant sa résolution.
"En tant qu'entreprise sanctionnée, Alrosa sera soumise à un certain nombre de restrictions en termes de développement d'actifs locaux de ce type, ce qui inquiète la partie angolaise", a détaillé le responsable russe.
Fin janvier, le média angolais Expansão a écrit que l'Angola obligeait le diamantaire russe à se retirer, sans compensation, du capital de la mine de Catoca, dont Alrosa détient 41%. 👉