"Quand on sait que certains pays africains sont à la recherche d'alternatives dans les transactions mondiales internationales, d'alternatives en termes de partenariat économique, alors cette présidence russe sonne comme une heure que ces pays africains pourraient exploiter pour mieux se positionner", explique Hyacinthe Wendlarima Ouedraogo, enseignant-chercheur à l'Université Nazi Boni/Bobo au Burkina Faso.
Il salue l’entrée au groupe de deux pays africains, en plus de l’Afrique du Sud, qui avait intégré les BRICS en 2011: l’Égypte et l’Éthiopie.