Cela est devenu possible grâce à la coopération étroite d’Ouagadougou avec le Mali voisin et la Russie, estime Hyacinthe Wendlarima Ouedraogo:
"Depuis la rupture opérée par le capitaine Ibrahim Traoré et le rapprochement fait avec le Mali et surtout avec la Russie et depuis un an, l'armée burkinabè a pu acquérir une logistique incroyable en termes de matériel de combat au sol, en termes de matériel de combat aérien, en termes d'avions de chasse, en termes de drones venus d'autres pays partenaires comme la Russie et la Turquie".
L’expert anticipe même la fin du règne des groupes terroristes au Sahel: "La chute de Kidal préfigure, j'allais dire, la fin du terrorisme au Sahel".