Au cours dudit procès sous procédure de flagrance, David Barampama a été condamné pour deux chefs d'accusations, dont le viol contre une mineure de 12 ans, il y a une semaine, et la traite d'un être humain, punissable par l'article 246 du code pénal burundais.
Le père de cette orpheline de mère a salué la décision du tribunal contre ce violeur, qu'il a accusé de récidiviste.
La Fédération Nationale des Associations engagées dans le Domaine de l'Enfance au Burundi (FENADEB) par le biais de son porte-parole, Ferdinand Simbaruhije, a manifesté le même sentiment de satisfaction pour la sanction du tribunal contre le violeur. Il a aussi apprécié positivement le déroulement du procès, suite au temps suffisant accordé à chaque partie et à leurs avocats.
Signalons que c'est la Fédération Nationale des Associations engagées dans le Domaine de l'Enfance au Burundi (FENADEB) qui a assisté la victime, en mettant à sa disposition un avocat.