Les combats, à l'arme lourde dans les rues de Khartoum et de plusieurs villes et même depuis le ciel avec l'armée de l'air qui bombarde les sièges des Forces de soutien rapide (FSR) ont tué au moins 56 civils et des "dizaines" de combattants des deux camps, selon des médecins qui dénoncent réquisitions d'ambulances, routes barrées et la mort de plusieurs praticiens dans les violences.
Des combats ont opposé dimanche pour la deuxième journée consécutive l'armée soudanaise à une puissante force paramilitaire, sur fond de lutte de pouvoir entre les deux généraux aux commandes du Soudan depuis le putsch de 2021, tuant au moins 56 civils en 24 heures et trois employés humanitaires de l'ONU.
Selon des témoins, des combats à l'arme lourde ont fait rage dimanche dans la banlieue nord de Khartoum, ainsi que dans le sud de la capitale, entre l'armée régulière et les paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR), d'ex-miliciens de la guerre dans la région du Darfour.
Selon des témoins, des combats à l'arme lourde ont fait rage dimanche dans la banlieue nord de Khartoum, ainsi que dans le sud de la capitale, entre l'armée régulière et les paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR), d'ex-miliciens de la guerre dans la région du Darfour.