La compagnie pétrolière et gazière a également fait savoir mardi matin qu'elle mettrait en oeuvre les sanctions de l'Europe à l'encontre de la Russie quelles que soient les conséquences - en cours d'évaluation - sur la gestion de ses actifs dans le pays.
TotalEnergies n'a en revanche pas pris une décision aussi radicale que celle de ses concurrents Shell, BP ou Exxon Mobil, qui ont choisi de se retirer totalement de leurs activités pétrolières et gazières en Russie.
"La déclaration de TotalEnergies a été partagée avec les autorités françaises, qui l'ont bien comprise", a indiqué mercredi un porte-parole de l'entreprise, sans confirmer ou démentir la réception de Patrick Pouyanné à l'Elysée.