Les protestations des routiers se poursuivent au Canada

Les protestations initiées par les camionneurs contre les restrictions liées à la pandémie de Covid-19 et les vaccinations obligatoires se poursuivent au Canada.
Sputnik
Pendant ce temps, la police a procédé à l’interpellation des organisateurs du "Convoi de la liberté", tandis que le Premier ministre Justin Trudeau a accusé les États-Unis de soutenir financièrement les manifestants.
Découvrez la situation à Ottawa dans ce diaporama de Sputnik.
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Les dirigeants du "Convoi de la liberté" qui ont organisé des manifestations dans le pays ont déclaré que l’état d’urgence imposé par le Premier ministre canadien, Justin Trudeau, ne pouvait pas empêcher les manifestations pacifiques. Malgré la victoire symbolique des autorités, qui s’est traduite par le déblocage d’un important poste de contrôle à la frontière américano-canadienne, les manifestants ne comptent pas abandonner leurs positions.

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Dans le même temps, l’interpellation des organisateurs des manifestations de routiers a commencé à Ottawa. Deux des principaux militants ont été interpellés et leurs avoirs bancaires gelés.

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La veille, des habitants du centre-ville d’Ottawa ont intenté un recours collectif en exigeant que soient sanctionnés les manifestants qui les importunaient avec les bruits incessants des camions.

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Il est également reproché aux manifestants que l’accumulation des camions à Ottawa rend difficile le passage des ambulances.

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Néanmoins, les routiers n’ont pas l’intention de quitter la ville.

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Pour mettre fin à la confrontation, la police effectue un exercice spécial dans une banlieue d’Ottawa.

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Le Premier ministre canadien, Justin Trudeau, a accusé les États-Unis de soutenir financièrement les protestataires. Il est convaincu qu’ils reçoivent de l’argent par le biais de campagnes de crowdfunding. M.Trudeau a déclaré que cet argent provenait des États-Unis et d’autres pays.

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Dans le même temps, M.Trudeau a appelé les forces de l’ordre à cesser toute violence à l’encontre des manifestants.

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Auparavant, la police a brutalement frappé Gerry Charlebois, retraité de 78 ans, qui avait klaxonné pour soutenir les manifestations du "Convoi de la liberté".

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Les manifestations dans la capitale canadienne se poursuivent depuis près de trois semaines. Dans ce contexte, le Premier ministre Justin Trudeau a dû quitter sa résidence.

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