"Les actions du CIO ne sont ni aléatoires ni impulsives. Il y a une stratégie pour discréditer le sport russe. Kamila Valieva est une cible attrayante à tous égards. L'assommer signifie jeter une ombre et, s’ils ont de la chance, détruire le personnel d’entraînement remarquable d'Eteri Tutberidze", estime Andreï Ouvarov, membre de la présidence de la Fédération de patinage artistique de Moscou et du musée du patinage artistique Ice Olympus dans une interview à Sputnik.
"L’autorisation à concourir n'est pas une victoire comme beaucoup de gens l'interprètent, mais une petite concession. Et puis cela entraîne des conditions plus humiliantes les unes après les autres: sans médaille, sans cérémonie, en vue de sanctions éventuelles", poursuit-il.
"Ces moments ne s'oublient pas, il est très difficile de redevenir une "Girl on the Ball", aussi légère, ouverte, joyeuse, quand on a connu une avalanche de mensonges, de jalousie et de colère", déplore-t-il.