Entre février 2021 et février 2022, ce sont au moins 16 allers-retours qui auraient été effectués, certains pour des distances inférieures à 2h15 de voiture. Et ce alors même que le chef du gouvernement avait de sa propre main signé un document n’autorisant la voie aérienne que pour des trajets ferroviaires supérieurs à trois heures.
Un coût très important pour les finances publiques, au moins 5.000 euros par heure d’utilisation, mais également un coût écologique catastrophique!
L’exécutif, qui est visiblement resté sur son petit nuage, ne voit rien à redire à ces déplacements. Gabriel Attal évoquant des impératifs de "sécurité" et de "disponibilité".
Un nouveau motif de turbulences dans la campagne d’Emmanuel Macron qui n’a toujours pas, officiellement, décollé?
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