Aujourd’hui, les citoyens du monde développé tentent tant bien que mal de retrouver leurs marques après deux ans de microgestion de leur vie par leurs gouvernements sous prétexte de pandémie, qui les ont enfermés dans un panoptique numérique, fait de passes sanitaires contrôlables à l’échelle mondiale.
"Dans la sidération de la crise et la peur de la mort, on fait passer des mesures qui étaient impensables", estime Éric Verhaeghe, auteur du livre Le Great Reset: mythes et réalités (Éditions Culture & Racines).
"C’est à travers les crises que l’on fait avancer l’agenda mondialiste. Le fichier unique de données sanitaires: avant le Covid, cette idée aurait fait hurler. En France il y a eu des hurlements contre les fichiers informatiques uniques. Grâce au Covid, on l’a fait passer d’un coup."